Le corps humain apparaît ici compressé dans un amas d’appareils électroniques obsolètes. Nu et vulnérable, il devient une pièce parmi les machines, pris au piège d’un univers technologique qu’il a lui-même produit. Entre critique et fascination, l’image questionne l’hybridation forcée entre chair et métal, et interroge la place de l’homme dans un monde saturé de dispositifs artificiels.