Deux bouteilles identiques se différencient, créant une mythose qui semble se dérouler sous nos yeux. Le plastique apparaît comme capable de se dupliquer à l’infini, soulevant la question de la nature de l’eau. Cette mise en scène évoque une réflexion sur la prolifération des déchets plastiques et met en contraste la permanence du matériau artificiel avec la fragilité de la ressource naturelle qu’est l’eau. L’œuvre interroge ainsi notre responsabilité collective dans la gestion des ressources et dans la création de déchets, soulignant la nécessité de repenser notre relation avec les matériaux et la nature.